vendredi 20 juillet 2018

Fendre l'armure d'Anna GAVALDA

  



Anna GAVALDA

Fendre l'armure















4ème de couverture : 
Je pourrais dire que c'est un recueil de nouvelles, que ce sont des histoires, qu'il y en a sept en tout et qu'elles commencent toutes à la première personne du singulier mais je ne le vois pas ainsi. Pour moi, ce ne sont pas des histoires et encore moins des personnages, ce sont des gens. De vrais gens. Pardon, de vraies gens.
Ils parlent pour essayer d'y voir clair, ils se dévoilent, ils se confient, ils fendent l'armure. Tous n'y parviennent pas mais de les regarder essayer, déjà, cela m'a émue. C'est prétentieux de parler de ses propres personnages en avouant qu'ils vous ont émue mais je vous le répète : pour moi ce ne sont pas des personnages, ce sont des gens, de réelles gens, de nouvelles gens et c'est eux que je vous confie aujourd'hui. (A.G.)






J'aime beaucoup les nouvelles, ces textes courts aux chutes fortes.
Voilà un moment que je n'avais pas lu cette auteure, j'ai eu plaisir à renouer avec elle, comme elle l'annonce dans la 4ème de couverture, ce sont des histoires de gens touchantes.

Et oui certaines chutes sont marquantes, frondeuses ou encore percutantes.
Je ne les ai pas aimées toutes de la même façon, certaines plus que d'autres, certaines moins, le style de chacune varie en fonction de son personnage principal.
Notamment la première qui est un peu loufoque et familière, tout comme la jeune femme qui en dirige l'action.

Je ne souhaite pas vous les détailler, je gâcherais votre plaisir et ça, c'est passible de la peine de mort chez les lecteurs, on ne spoile pas!
Une lecture idéale pour les vacances par exemple.






Anna Gavalda est une femme de lettres française.
Après avoir grandi en Eure-et-Loir, elle est envoyée en pension, à l'âge de quatorze ans, à la suite de la séparation de ses parents. Elle est élève d'hypokhâgne au lycée Molière en 1990, suivie d’une maîtrise de lettres modernes à la Sorbonne.
Installée à Melun avec ses deux filles après son divorce, elle embrasse divers métiers : enseignante en Collège, assistante vétérinaire, ou encore chroniqueuse dans des entreprises de médias comme "le Journal du Dimanche". Elle publie ensuite dans le magazine ELLE où elle parle des livres pour enfants. Elle fait également partie du jury à Angoulême pour le festival de la BD. 
L’aventure littéraire commence réellement en 1992, année où elle devient lauréate France Inter pour "La plus belle lettre d’amour." 
Professeur de français au collège Nazareth à Voisenon en Seine-et-Marne, elle obtient en 2000 le grand prix RTL-Lire pour son premier recueil de nouvelles "Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part" publié par Le Dilettante. Ce livre rencontre un énorme succès avec des traductions en vingt-sept langues et des ventes cumulées à 1 885 000 exemplaires. 
En 2002 paraîtra son premier roman, "Je l'aimais", adapté au cinéma par Zabou Breitman en 2009. Suivront un roman pour adolescents, "35 kilos d'espoir" en 2002 et son grand succès, "Ensemble, c'est tout" en 2004. Il est ensuite adapté dans un film réalisé par Claude Berri en 2007. 
En 2008 sort "La consolante" qui sera vendu à 655.000 ventes. En juin 2010, elle reçoit le prix Tortignole pour "L’échappée belle" (2009). Avec autant de best-sellers, son livre "Billie" (2013) a bénéficié d'un premier tirage de 350000 exemplaires. 
Anna Gavalda vit à Paris.

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