Eric BONY
Le tombeau du diable
4ème de couverture :
Journaliste au magazine Enigm, Thomas Cazan a réussi a décrocher un rendez-vous avec le propriétaire du fameux médaillon de Mandrin, un bijou « maudit » depuis le XVIIIe siècle. La rencontre tourne court lorsque le propriétaire du pendentif est sauvagement assassine.
Accuse de meurtre et de vol, Thomas n'a d'autre choix que de mener sa propre enquête pour prouver son innocence.
Il doit percer le secret du médaillon qui révélerait l'emplacement du « Tombeau du diable » et de son mythique trésor.
Face a de redoutables ennemis qui semblent toujours avoir une longueur d'avance, une course contre la montre s'engage. Diabolique.
La première enquête de Thomas Cazan, journaliste de l'étrange.
Accuse de meurtre et de vol, Thomas n'a d'autre choix que de mener sa propre enquête pour prouver son innocence.
Il doit percer le secret du médaillon qui révélerait l'emplacement du « Tombeau du diable » et de son mythique trésor.
Face a de redoutables ennemis qui semblent toujours avoir une longueur d'avance, une course contre la montre s'engage. Diabolique.
La première enquête de Thomas Cazan, journaliste de l'étrange.
La lecture c'est notre drogue.
Alors quand notre dealer nous propose un bon produit, nous nous rassemblons pour le consommer.
Pour ce shoot, notre dealer que nous remercions chaleureusement c'est Eric P. et notre dose
c'est le premier roman d'Eric Bony :
"Le tombeau du diable".
Puisqu'il semble que plus on est de fous plus on rit, nous avons décidé de lire ce roman en lecture commune avec : Guillaume de Tribulations d'une vie, Sandra de Passion Thrillers et Bruno chroniqueur chez Zonelivre.
Vous pourrez retrouver leurs chroniques à la suite de cet article.
Mon avis :
Quand on voit l'étoile satanique sur la couverture on pense à des cérémonies, des sacrifices, on pense au mal, à une folie dangereuse et profonde.
Je dois confesser l'avoir portée autour du coup pendant mon adolescence, esprit provoc tout un symbole, aujourd'hui cette étoile m’amène à un mélange de méfiance, de peur et d'excitation malgré tout.
J'étais dans le vrai, ma première idée s'est vue confirmée.
Thomas vit des moments difficiles sur le plan professionnel, il est en désaccord total avec la ligne éditoriale du journal qui l'emploie.
Une personnalité frondeuse et attachante qui donne du peps au récit, j'aime.
Il est envoyé à l'exposition du Grand Palais afin de prendre des photos et de rédiger un billet sur un bijou maudit depuis des générations et des générations.
Tous ses propriétaires sont morts dans des conditions atroces ou prématurées.
Alors que le bijou est sorti du coffre fort, à peine le temps de l'apercevoir que trois personnes font irruption dans la pièce et abattent le propriétaire avant de dérober le précieux bien.
Les vigiles tirant sur tout ce qui bouge Thomas décide de prendre la fuite, ce qui va se révéler idée... pourrie.
Il va se voir accuser de vol et de meurtre, recherché tel un fugitif dangereux.
Ça part en vrille méchamment, le tout entouré d'histoire, de trésors, d'ésotérisme.
En parallèle il se passe des choses dont vous n'imaginez pas l'horreur, un médecin collectionne des œuvres humaines qu'il fige dans la mort.
Il sélectionne soigneusement des victimes de Tchernobyl, des êtres malformés, difformes.
Les deux sujets vont se rejoindre pour ne faire plus qu'un, alors à ce moment là suivez mon conseil et ne faîtes plus confiance à personne, j'ai dit personne...
Je retiendrais principalement le dénouement il est puissant et les masques tombent, il y a de quoi en avoir le souffle coupé. Sacré moment!!
Si l'auteur maîtrise quelque chose parfaitement, je dirais que c'est le suspense.
Quand la tension monte, que l'on sent très clairement le danger et qu'un personnage tombe sur une porte fermée (je vous épargne la description des lieux glauques) et bien non seulement mon baromètre curiosité a explosé mais en plus j'ai pas mal flippé.
Deux bons points.
Quand j'ai vu qu'il s'agissait d'ésotérisme j'ai eu une appréhension, ça nécessite beaucoup de recherches et de maîtrise, sans parler du maintien constant du lecteur.
On comprend vite que l'auteur sait de quoi il parle, ça gère et incontestablement il possède une belle plume (d'ange ou pas... comprendrons ceux qui l'ont lu).
En effet, le titre est criant d'exactitude bienvenue en enfer, j'avais raison de me méfier ce thriller est démoniaque.
Un petit flirt avec le diable ça vous tente !!!
"Suspense et ésotérisme: un thriller machiavélique"
Bon je pense que c'est l'une des meilleures phrases d'accroche qu'il puisse exister pour me donner envie de plonger dans un roman. Ajoutez à ça une couverture magnifique, City a encore frappé, et me voici embarqué dans l'aventure avec ce journaliste qui d'une manière parfaitement impromptue se retrouve le coupable idéal d'un vol et d'assassinat.
La situation n'est déjà pas des plus confortable pour Thomas mais en plus le bijou qu'il a en sa possession est, selon la légende, la clef qui guidera et ouvrira le tombeau du diable.
Je ne peux pas dire que je suis rentré immédiatement dans l'action du roman. Si je devais mettre en avant un bémol ce serait la manque de rythme du début. J'ai adhéré à l'intrigue rapidement mais j'ai regretté une trop longue introduction. Il m'a manqué une soutenance de rythme pour cette mise en bouche.
Surtout qu'une fois le décor planté, le rythme s’accélère de manière notable. Les événements, rebondissements s'enchaînent intelligemment pour une lecture à bout de souffle.
La construction du roman est de mes favorites: alternance des chapitres entre deux intrigues opposées qui vont se rejoindre à un moment. On ne sait pas encore quand, comment et pourquoi ces intrigues sont vouées à la fusion mais c'est inévitable. Sans vraiment en prendre conscience, le lecteur est envahi par le stress de cette lecture. La tension s'installe sans faire de bruit. La lecture devient addictive.
Moi qui aime l'ésotérisme, j'ai vraiment été ravi avec ce roman. L'auteur a fait preuve d'un beau travail documentaire pour intégrer le diable à son histoire de manière subtile, intéressante et intrigante. J'ai découvert beaucoup d'éléments à travers une intrigue complexe, menée d'une main de maître. Pris au jeu, le dénouement ne me semblait pas évident. Je restais en suspend quand au but de cette quête, jusqu'où l'auteur allait-il nous emmener ?
Et cette fin ! Malgré de nombreux rebondissements tout au long des chapitres, Eric Bony avait gardé quelques révélations sous le coude pour le bouquet final. Beau coup de maître !! Bravo, j'étais bluffé.
Quand je pense que "Le Tombeau du Diable" est le premier roman d'Eric Bony, je ne peux que vous dire que c'est un auteur à suivre de très prêt. Un vrai travail de rédaction est fourni, de recherches et de mise en forme. L'intrigue est parfaitement réfléchie et mise en application afin de bercer / berner le lecteur jusqu'au point de non retour. BRAVO !
Bon je pense que c'est l'une des meilleures phrases d'accroche qu'il puisse exister pour me donner envie de plonger dans un roman. Ajoutez à ça une couverture magnifique, City a encore frappé, et me voici embarqué dans l'aventure avec ce journaliste qui d'une manière parfaitement impromptue se retrouve le coupable idéal d'un vol et d'assassinat.
La situation n'est déjà pas des plus confortable pour Thomas mais en plus le bijou qu'il a en sa possession est, selon la légende, la clef qui guidera et ouvrira le tombeau du diable.
Je ne peux pas dire que je suis rentré immédiatement dans l'action du roman. Si je devais mettre en avant un bémol ce serait la manque de rythme du début. J'ai adhéré à l'intrigue rapidement mais j'ai regretté une trop longue introduction. Il m'a manqué une soutenance de rythme pour cette mise en bouche.
Surtout qu'une fois le décor planté, le rythme s’accélère de manière notable. Les événements, rebondissements s'enchaînent intelligemment pour une lecture à bout de souffle.
La construction du roman est de mes favorites: alternance des chapitres entre deux intrigues opposées qui vont se rejoindre à un moment. On ne sait pas encore quand, comment et pourquoi ces intrigues sont vouées à la fusion mais c'est inévitable. Sans vraiment en prendre conscience, le lecteur est envahi par le stress de cette lecture. La tension s'installe sans faire de bruit. La lecture devient addictive.
Moi qui aime l'ésotérisme, j'ai vraiment été ravi avec ce roman. L'auteur a fait preuve d'un beau travail documentaire pour intégrer le diable à son histoire de manière subtile, intéressante et intrigante. J'ai découvert beaucoup d'éléments à travers une intrigue complexe, menée d'une main de maître. Pris au jeu, le dénouement ne me semblait pas évident. Je restais en suspend quand au but de cette quête, jusqu'où l'auteur allait-il nous emmener ?
Et cette fin ! Malgré de nombreux rebondissements tout au long des chapitres, Eric Bony avait gardé quelques révélations sous le coude pour le bouquet final. Beau coup de maître !! Bravo, j'étais bluffé.
Quand je pense que "Le Tombeau du Diable" est le premier roman d'Eric Bony, je ne peux que vous dire que c'est un auteur à suivre de très prêt. Un vrai travail de rédaction est fourni, de recherches et de mise en forme. L'intrigue est parfaitement réfléchie et mise en application afin de bercer / berner le lecteur jusqu'au point de non retour. BRAVO !
Une chasse au trésor palpitante et une machination diabolique !
Un thriller ésotérique... simple !
Oui oui, un thriller ésotérique peut être simple, on n'est pas obligé de se perdre dans des détails historiques complexes et souvent redondants ! Pour cela il suffit de trouver une intrigue simple (un petite chasse au trésor sympa), une époque unique (un tour sur Wikipédia et Mandrin n'aura plus de secret pour vous), et d'y ajouter une plume légère et efficace ! Et voilà le tour est joué ! Le décor est planté, suivez le guide...
Enfin le guide non, mais le journaliste ! Thomas Cazan, "journaliste de l'étrange", se retrouve bien malgré lui mêlé à une quête bien particulière, celle du "Tombeau du Diable". Accusé de meurtre et du vol du fameux médaillon maudit de Mandrin, il n'a d'autre choix que de suivre Marie sur les traces de ses ancêtres...
Vous pensez avoir tout lu sur le Mal ?
Erreur ! Grosse erreur ! le Mal vous allez le découvrir ici, sous la forme d'un Dieu cornu, quel que soit le nom qu'on lui donne un seul est universel: le Diable ! Et le Mal étant contagieux, la folie humaine ne vous sera pas épargnée par Eric Bony qui prend un "malin" plaisir à torturer ses victimes comme notre cerveau...
Un premier roman de très bonne facture !
Même si l'intrigue et le contexte sont simples, il ne sont pas pour autant simplistes. Un gros travail de recherche est sous-jacent et rend ce récit totalement addictif ! Le suspense est présent du début à la fin, même si on a toujours une vague idée de l'endroit où va nous mener l'auteur, et les pages tournent toutes seules !
Un petit bémol ? Oui, un: un certain manque de surprise, savoir où l'on va dans un thriller n'est pas toujours une position agréable... Ceci dit la fin réserve une vraie belle surprise donc on ne tiendra pas rigueur de ce détail à l'auteur...
Quant aux personnages me direz-vous ? Eh bien ils ont répondu à toutes mes attentes ! Bien travaillés ils sont attachants... ou pas ! Les gentils sont de vrais gentils (ou pas), les méchants de gros vilains méchants (mais qui sont-ils réellement ?), et au final ils nous font tous, sans exception, passer un excellent moment de lecture ! Descendre dans le "Tombeau du Diable" s'assimile à une véritable descente aux enfers, tout ce que j'aime !
Pour un premier roman je dirais donc que c'est une belle réussite et il me tarde de retrouver Thomas dans ses futures aventures !
L'avis de Bruno :
Page facebook :
Les lectures de Brunal
Je suis un fan de Thriller ésotérique. Quand j'ai reçu LE TOMBEAU DU DIABLE, le 1er roman d'Éric Bony, j'ai été subjugué par la magnifique couverture. Un bon point, une fois de plus, pour les éditions City.
En lisant le 4ème de couverture, je me suis dit que c'était un sujet accrocheur mais il sentait le déjà vu: Un homme, journaliste, Thomas Cazan, se retrouve impliqué dans une chasse au trésor et il est en même temps accusé de meurtre.
Un sujet déjà mainte fois exploité mais grâce à la plume addictive de l'auteur, On ne s'ennuie pas même si l'histoire prends du temps à démarrer. Un thriller extrêmement captivant.
Long à démarrer je disais mais à partir du moment où l'histoire prends enfin ses marques, impossible de lâcher prise. Rebondissements spectaculaires en veux - tu en voilà.
Le thriller ésotérique est un exercice de style très difficile à effectuer car il demande beaucoup de recherche et de documentation. Et il faut faire attention à ne pas ennuyer le lecteur avec des descriptions interminables. Steve Berry, James Rollins et Dan Brown en sont les maîtres. Mais Éric Bony montre qu'il n'a rien à leur envier.
Quand on pense que ce Tombeau du diable est un premier roman, on peux se dire que c'est un auteur à suivre.
Pas un coup de coeur mais un excellent moment de lecture.
Un grand bravo à Éric Bony.