jeudi 28 avril 2016

Elvis Cadillac King from Charleroi de Nadine MONFILS




Nadine MONFILS 

Elvis Cadillac
King from Charleroi




4ème de couverture :
Avec sa chienne Priscilla affublée d'une banane rose, Elvis sillonne les routes au volant de sa Cadillac ornée de cornes de vache pour aller donner des concerts. Abandonné à l'âge de 5 ans près des toilettes d'un restoroute, il a été recueilli par un couple d'épiciers fans de Georgette Plana, et est devenu Ze sosie officiel du King ! Invité à chanter pour l'anniversaire d'une vieille châtelaine, sur l'air de " Blue Moon ", il va se retrouver au cœur d'un crime bien étrange, avec en prime une panoplie de pétés du couvercle, dont le chat Houellebecq qui a des mycoses aux pattes. Yeah ! 






Il y a maintenant quelques années j'ai découvert une plume au style humoristique unique et inédit.
J'imagine assez bien l'effet produit sur la ménagère un peu trop prude, défrisage garanti.
C'est gras et vulgaire n'ayons pas peur des mots et ça me fait pleurer de rire.

La vie d'Elvis Cadillac est particulière, il est le sosie du King et passe ses journées à répéter pour ses spectacles en tongs et cuir blanc.
Jusqu'au jour où la sonnette de l'entrée va retentir, à partir de ce jour sa vie va changer et se compliquer légèrement car c'est une sacrée surprise qu'il va trouver derrière la porte.
Pour faire simple les emmerdes débarquent....


L'auteure nous a concocté un personnage a sa sauce, comme elle sait si bien le faire, il est particulièrement beauf mais du moment qu'il y croit c'est le principal.
La dérision est portée à son paroxysme, c'est là le secret de Nadine Monfils.

Les expressions bien envoyées se succèdent, j'ai passé mon temps avec un sourire greffé sur le visage quand je ne m'esclaffais pas de rire à grand bruit.
Certaines scènes resteront cultes, je ne peux pas les décrire bien entendu mais vous pouvez être certains qu'il y a de la magie.
Je ne parle pas de magie au sens propre mais c'est pour dire fabuleux, surréaliste ou encore grandiose tellement on a les pieds dans un milieu farfelu et caricatural. 

Petit message à l'auteure : 
Nadine, je vous aime, tout simplement, continuez à nous muscler les zygomatiques parce que rire est un besoin mais aussi un devoir pour notre liberté.
Vos romans sont une touche de bonheur dans ce monde de dingue.
Ma fille de six ans est archi fan de mémé Cornemuse, bon d'accord j'ai censuré certaines habitudes de la bonne dame et quand je vous lis mon mari me demande systématiquement pourquoi je me marre, il faut donc que je raconte la scène burlesque en question mais tout ça pour dire que vous en touchez du monde. 

En refermant le roman j'ai eu très envie d'écouter du Elvis Presley, le vrai.
Malgré cette déconnade à outrance, il est passé du romantisme (si si c'est possible) et de la Rock Attitude.
Mes chers lecteurs, vous l'aurez compris j'ai mis tout mon respect et mon admiration dans mon avis, ça ne vous donne pas envie de vous marrer ça ? 






Nadine Monfils est écrivaine et réalisatrice belge, vivant à Montmartre.
Nadine Monfils a été successivement enseignante, attachée de presse d'une maison d'édition, comédienne de théâtre et critique littéraire pour le Père Ubu, l'équivalent belge du Canard enchaîné. 
Mais c’est avant tout comme auteur que Nadine Monfils s’est fait connaître avec la publication d’un recueil de contes, de poésie, de romans, de nouvelles et de plusieurs pièces de théâtre.


















lundi 25 avril 2016

Dernière escale de Sandra MARTINEAU




Sandra MARTINEAU

Dernière escale






4ème de couverture :
Richard, ex-footballeur pro dont la carrière a pris fin après de multiples scandales, embarque avec femme et enfants sur le Cruise Constantino pour une croisière d'une semaine. C'est le voyage de la dernière chance pour renouer avec son épouse de plus en plus distante, renouer avec son fils, un ado grincheux et profiter enfin de la petite dernière, seul membre de la famille bien disposée à son égard. L'ex-star du Barça, encore auréolée de son prestige, est accueillie en VIP. Les passagères lui font les yeux doux, un journaliste le poursuit pour tenter de décrocher un ou deux scoops, le commandant le reçoit, la voyante du bord l'intrigue... Bref, la croisière ne demande qu'à s'amuser, mais l'ex-joueur, obnubilé par le souvenir de l'enlèvement de sa soeur, n'a qu'une obsession, sur-protéger sa très jeune fille, proie idéale selon lui pour les prédateurs de tout poils gravitant dans les coursives. Quand un détective, interloqué par ses agissements paranoïaques et ses réactions incohérentes vient proposer ses services à ce père anxieux, l'angoisse va croissante. Chaque escale apportant par ailleurs son lot d'événements plus inquiétants les uns que les autres. Le paquebot débarquera-t-il autant de passagers qu'il en a embarqué ?





Avec ce quatrième roman, la qualité des écrits de Sandra Martineau est plus que jamais une certitude.
J'aime énormément ce qu'elle fait et je la lis depuis maintenant quelques années, il était évident qu'il me fallait son dernier.

La situation est délicate, Richard était footballeur, licencié récemment pour tous les abus qu'engendre bien trop souvent la profession.
Drogue, sexe, alcool...
Pourtant ce dernier est marié et a deux enfants, c'est lors de leur ultime et dernière chance pour consolider ce qui peut encore l'être avec sa famille qu'il va embarquer à bord du Cruise Constantino.
Les vacances à la base sont faites pour se détendre, ça va être très compliqué voire dangereux...

Quand on jongle avec une famille en guise de personnages, j'imagine qu'il ne doit pas être aisé de leur répartir les temps d'intervention et de dialogue.
Pourtant j'ai beaucoup apprécié cette répartition, je tiens à soulever ce détail qui semble anodin pour le lecteur mais qui sert à la fluidité et à son confort de lecture.

L'opulence amène souvent à la dérive et la célébrité est tout de même très difficile à gérer disons-le.
Sans trop en dire je peux avancer que chaque membre de la famille de Richard a ses propres démons à affronter, il va falloir voir plus loin que le bout de son nez, aller crever la surface et exterminer le mal.

Ces interrogations qui se glissent en vous, insidieusement et vous obligent à tourner les pages avec frénésie, voilà ce que j'ai subi durant tout le long.
J'ajouterais à cela une sensation de danger permanent qui monte tranquillement.
Point de carotide tranchée qui repeint les murs, vous trouverez une impression de drame imminent, comme une douleur lancinante et aiguë qui ne vous lâche plus.
Un style soft et terriblement efficace auquel j'adhère à 200%.
Quant à la fin, c'est juste la cerise sur le gâteau comme on l'aime...

Envie de vacances, de voyage et d'évasion, ça tombe bien ce thriller psychologique vous tend les bras !!!






Née à Saint-Brieuc en 1978, Sandra Martineau a passé toute sa jeunesse dans ville de Saint-Brieuc. Après un bac ES, elle entame des études de droit durant lesquelles elle profite de son temps libre pour perfectionner sa passion pour la photo et réaliser deux expos. Ses études de commerce international l'amènent ensuite à Vannes. Installée dans la Sarthe depuis onze ans, elle n'en oublie pas pour autant s Bretagne natale.
Écrire n'est pas son métier, mais après avoir gagné le prix de nouvelles Louis Guilloux au lycée, elle se risque à continuer dans cette voie, d'abord en écrivant des scénarios, ensuite en les adaptant en manuscrits. Trop souvent envahie d'idées, c'est le temps qui lui manque pour écrire.
Sportive de nature, elle est aussi quelqu'un d'hyperactif, qui combine la gestion d'une entreprise, l'éducation de ses deux enfants et l'écriture.

vendredi 22 avril 2016

Quand la neige danse de Sonja DELZONGLE






Sonja DELZONGLE

Quand la neige danse














4ème de couverture :
Février 2014, au nord de Chicago. La neige et le blizzard semblent avoir pétrifié la petite ville de Crystal Lake. Un matin, le médecin Joe Lasko reçoit un paquet. Y repose une magnifique poupée aux cheveux longs et roux, sosie de sa fille Lieserl disparue depuis plusieurs semaines. Comble de l'horreur : la poupée est vêtue exactement comme Lieserl le jour où elle s'est volatilisée. 
Ce n’est pas tout. Depuis un mois, quatre fillettes ont été enlevées, et chacune des familles va recevoir une poupée. Joe, jeune divorcé, décide de mener sa propre enquête, aidé par une détective privée dont il était secrètement amoureux des années plus tôt. Conscients que l'affaire les dépasse, tous deux appellent à l'aide Hanah Baxter, la célèbre profileuse, et son inséparable pendule. Quelque part dans Crystal Lake, depuis très longtemps, quelqu'un s'en prend aux enfants. Les détient-il prisonnières? Sont-elles encore en vie? 




Après le coup de foudre dévastateur éprouvé pour Dust, le précédent thriller publié de Sonja Delzongle, c'est juste du pur bonheur de se rendre compte qu'on retrouve Hanah Baxter dans ce dernier.
Je ne lis les 4ème de couverture qu'avant ma lecture voilà pourquoi c'est une surprise, je veux être vierge de toute info, ceci dit j'espère que c'est la suite d'une longue série, je suis totalement addict.

Quatre petites filles ont été enlevées à Crystal Lake, au bout d'un mois l'enquête s'essouffle et Joe un des pères décide de mener une enquête parallèle avec l'aide d'une détective privée.
Cette dernière ayant dans ses contacts Hanah Baxter, l'exceptionnelle profileuse, va lui demander du renfort.
Une poupée ressemblant fortement à chaque petite fille a été envoyée dans les familles respectives, le temps presse...

Quel sujet immensément dur que la disparition d'enfants, tous les détails sont présents, profonds et douloureux.
L'horreur ressentie par les parents est palpable, une peur inapaisable, qui ne laisse aucun répit à l'esprit.

Les personnages sont une totale réussite jusqu'au chien de Joe qui a un vrai rôle, si si c'est possible mais bien sûr ce n'est pas celui qu'on préfère, Hanah détrône tous les autres. 
Cette femme au passé douloureux, ancienne tox et aux sens surdéveloppés.
J'ai particulièrement aimé l'action qui y est particulièrement présente, par moment je me suis surprise à retenir ma respiration, le rythme est intense on a l'impression de mettre les doigts dans une prise.

En commençant j'ai su que j'allais encore prendre une gifle, rien que l'écriture est parlante, elle est dense, étoffée, elle transpire le talent.
Au passage j'ai eu les nerfs à vif, les tripes nouées et j'ai poussé le vice jusqu'aux larmes sur le dénouement, oui ça n'arrive pas souvent mais je me suis prise au jeu j'ai tremblé pour ces petites filles. 
N'essayez pas de décrypter mes propos vous n'aurez pas le fin mot et heureusement car c'est désormais à vous d'attraper ce roman.

Je me sens sonnée mais heureuse, j'ai pris un pied d'enfer à la lecture de ce thriller, l'auteure confirme bel et bien qu'elle est une grande !!!
Je me suis mise à genoux devant cette grande prêtresse du noir pour Dust et bien je suis bonne pour recommencer...





Sonja Delzongle est une ancienne journaliste installée à Lyon et passionnée d’Afrique.
Née en 1967 d’un père français et d’une mère serbe, Sonja Delzongle a grandi entre Dijon et la Serbie. 
Elle a mené une vie de bohème, entre emplois divers (les plus marquants ayant été le commerce artisanal africain-asiatique et la tenue d’un bar de nuit) et écriture. 
C’est en 2011 qu’elle commence l’écriture de "Dust". Sa passion pour l’Afrique, qui remonte à sa petite enfance, l’a amenée à y faire de multiples séjours. 

lundi 18 avril 2016

Soul of London de Gaëlle PERRIN-GUILLET



Gaëlle PERRIN-GUILLET

Soul of London





4ème de couverture :
Londres, 1892.
Un climat de peur.
Un flic qui boite et un jeune orphelin.
Tous deux face à un meurtre...
... dont il ne fallait plus parler.
Jouant avec un côté « Sidekick », Soul Of London nous plonge dans une atmosphère londonienne fort bien documentée. Ce nouveau thriller, de Gaëlle Perrin, se révèle être aussi distrayant qu'angoissant.




D'entrée il faut que je pose les bases pour plus de clarté :
- Londres : j'adore.
- L'écriture de Gaëlle Perrin : j'adore.
- La couverture : je l'adore.
Je suis l'auteure depuis maintenant quelques années, replonger avec elle est toujours un plaisir.

Henry est un policier anglais rétrogradé dans un placard suite à un accident.
Fini le terrain, sa mobilité étant affectée il doit se contenter des chiens perdus et autres affaires minimes.
Pourtant les chiens retrouvés mutilés se succèdent et ça commence sérieusement à sentir mauvais, son flair aiguisé va le mener sur les traces d'un meurtrier terrifiant qui très vite ne se satisfera plus de ce genre de proies...

Et quel plaisir, l'ambiance créée est lourde, sombre, mystique et rétro, toute l'essence de la vie londonienne des années 1890 est captée parfaitement.

Au bout de quelques pages je me suis laissée surprendre avec tout un tas de questions qui ont ressurgi sur une des morts suspectes.
Arrivée à ce passage, il était trop tard mes doigts étaient coincés dans l'infernal engrenage et je n'ai même pas cherché à les retirer.

Je me suis retrouvée au milieu d'une ode à Jack l'éventreur, à Conan Doyle et à Oliver Twist, imaginez le trip d'un tout réuni en un seul thriller, la nostalgie, le souvenir du sang et la perfection de démêler une intrigue.
Un sublime trip qui comme je l'ai déjà évoqué concernant l'écriture de l'auteure me plonge dans une impression de conte à la Dickens et oui encore, ça s'appelle une magnifique performance tout simplement. 

Que vous dire de plus, j'ai tout aimé, retourner à Londres, les noms anglais des personnages, l'atmosphère noire, l'avancée de l'enquête... Si juste une chose, craquez !!!






Gaëlle Perrin-Guillet est secrétaire de mairie le jour et auteur de thriller la nuit. 
Depuis toujours amatrice de romans noirs, elle s’essaie à l’écriture en 2000. 
Après deux romans auto-publiés (« Le Sourire du diable » en 2010 et « Au fil des morts »en 2011), elle participe à deux recueils des « Auteurs du noir face à la différence » (en 2012 aux éditions JIGAL puis en 2013 à L’atelier Mosesu).
Haut-le-cœur (2013) est son premier roman publié aux Editions Rouge Sang.
Elle vit à Lyon.

page Facebook:
https://www.facebook.com/pages/Gaelle-Perrin-auteur/174486709240653 




jeudi 14 avril 2016

Stan Kurtz Série B volume 6 Terribles tropiques de Marc FALVO

    


Marc FALVO

Stan Kurtz :
Série B volume 6/6
Terribles tropiques




4ème de couverture : 
Où j’en suis, déjà ? 
Ah ouais, c’est le bordel chez les Kurtz. Pour changer. 
Et ça s’arrangera pas avec ce nouvel (et dernier ?) opus, qui promet autant qu’un politicard en campagne. Sea, sex and sun, avec un énième retour du pater, les Boum et Bang agitant mon cœur blessé, quelques énigmes retorses puis un soupçon de pop music… Votre Infra-détective sous le feu des projos et celui des balles, avant un climax disons… Torride. 
Pas de doute mes loulous, l’été sera chaud. 





Voilà c'est fini, je termine la série c'est donc l'heure du bilan alors je regarde en arrière et je me dis que ces six tomes m'ont marquée par leur originalité et leur folie. Ils resteront dans ma tête c'est certain.
En plus quel superbe visuel dans ma bibliothèque.





Pour ce bouquet final, il va falloir rendre des comptes, pour Stan notre bonne poire de détective la coupe est pleine.
Il arrive un moment où les cachotteries doivent cesser et les abcès être crevés.
Notamment avec le révérend, ce grand psychopathe qui pourrit la vie de Stan depuis bien trop longtemps.
Il est temps de lui rendre l'ultime visite, alors raclée or not raclée?

J'ai adoré cette aventure pour le moins déconcertante, je n'en attendais pas moins soyons honnête.
Je reste persuadée que vous avez lu des tonnes de récits dangereux mais pas celui-ci, il est unique, c'est en partie à cause ou grâce au personnage principal, à votre bon choix.
Ce qui est certain c'est qu'une lecture pareille vous donne la pêche pour un bon moment.
C'est assez ce que j'imagine des effets de l'ecstasy, les sens se mélangent, rien ne semble vrai et pourtant tout est si réel.
Ça c'est le ressenti Stan Kurtz, accoutumance, détente, hallucinations voire démence...

Quoi de plus important que de ressentir à travers sa lecture, j'ai ressenti mille et une choses, je me suis surtout marrée, challenge plus que remporté. 
L'auteur n'a pas son pareil pour inventer des mots, en mixer deux pour en donner l'explication ou le nombre de points, j'en suis morte de rire à chaque fois c'est pas possible autrement.

Les dernières pages m'ont arrachée un smiley de dingue, y a vraiment que Stan pour nous faire un coup pareil mais chut, ne jamais compter sur moi pour vendre la mèche.
Je ne vois qu'une seule solution : La librairie.




Marc Falvo est écrivain, auteur de romans policiers, dramaturge et scénariste. Il est né à Lille. Marc Falvo intègre la formation Médiation Culturelle en 2002 à l’université Lille 3. A la fin de sa première année, il se spécialise en cinéma, avant d’obtenir en 2007 sa licence en théâtre. 


mercredi 13 avril 2016

"Lire à Limoges" 2016





Pour la 3ème fois consécutive je me suis rendue 
au salon du livre de Limoges, un salon parfaitement rodé avec plus de 30 ans d'existence, 300 auteurs (Polar, BD, jeunesse, littérature générale).
C'était les 1er, 2 et 3 avril 2016, vous l'avez raté désormais vous savez qu'il faudra vous y rendre à la prochaine édition.
Je vous présente un petit aperçu à travers mes yeux de passionnée.


Anthony SIGNOL


Claire FAVAN


Olivier KOURILSKY 


Thierry BERLANDA


Mallock



Eric BONY


Sophie HENRIONNET


Louis CHEDID


Agnès ABECASSIS


Véronique JANNOT


Astrid MANFREDI 
Prix Régine Deforges 2016


Stéphane BOURGOIN


Un accueil fabuleux, voir, revoir ses auteurs favoris, en découvrir d'autres, des sourires, des bras grands ouverts, des échanges plus qu’intéressants ou encore des fous rires extraordinaires pour prendre l'ultime photo.
Vous l'aurez compris quelle ambiance, un salon comme ça je resigne de suite, dites-moi juste où.






Conférence polar avec Claire FAVAN 
et Stéphane BOURGOIN


Il s'agit de ma première conférence, niveau qualité j'ai été servie, le conférencier a mené un débat particulièrement  passionnant ni plus ni moins.

Nous sommes passés de la fiction avec la talentueuse Claire Favan, à la réalité avec Stéphane Bourgoin spécialiste international des tueurs en série.




Un élément est à relever, dans la salle, je me suis trouvée à côté de personnes de tout âge mais j'ai pu apercevoir de jeunes personnes, pas complètement entrées dans l'âge adulte. J'en ai été émue, tout ça pour dire que la littérature a encore de beaux jours devant elle, la relève est assurée c'est une certitude.

Quel travail, quelle qualité de travail, d'organisation, de nombreux auteurs en ont fait mention mais j'ai pu le constater au cœur de l'action, la mairie de Limoges elle assure, longue vie à cette superbe manifestation.



Ce qu'il faut savoir
Entrée gratuite 
Esplanade du Champ de Juillet