Nicolas DRUART
Nuit blanche
4ème de couverture :
Saint-Florentin-sur-Lot : trois mille deux cents habitants répartis dans un isthme, encerclés par le Lot; un hôpital reclus dans les bois, à l’extrémité nord de la presqu’île.
Et une tempête déferlante.
Julie est interne dans le service de médecine et n’aspire qu’à une seule chose : une nuit de garde calme. Mais l’arrivée d’un nouveau patient vient bouleverser ses projets. Un homme plongé dans le coma, escorté par deux gendarmes, va perturber la quiétude du centre hospitalier. Aussitôt après son admission, les tragédies s’enchaînent. Des malades décèdent de façon inexpliquée, un accident mortel décime des ambulanciers, et alors que la tempête isole l’hôpital du reste du monde, un crime atroce est commis.
Wouh ça sent la maîtrise et j'apprécie grandement, j'ai toujours une petite appréhension de me lancer avec un auteur que je ne connais pas.
Je le reconnais, c'est idiot, c'est comme ça qu'on découvre des pépites en papier, d'ailleurs c'est un manuscrit sélectionné par Franck Thilliez himself.
Julie est une interne débrouillarde, qui a quitté la ville de Toulouse, pour jouer les rats des champs dans un hôpital du Lot, non loin de là.
Gendarmes et ambulanciers lui confient un patient dans le coma, à la base il s'agit d'un homme extrêmement dangereux.
Quelques heures plus tard, survient une panne de courant et Julie se rend compte que la tempête qui se joue à l'extérieur a fait des dégâts effroyables.
Elle se retrouve coupée de monde, avec une petite équipe de soignants... et de patients...
L'ambiance va vite devenir invivable.
Il faut que je vous parle de l'ambiance, elle est angoissante au possible, je me sentirais presque claustrophobe alors que nous sommes dans un hôpital, l'espace de jeu est pourtant grand à la base.
C'est un huis clos qui a du chien, j'ai cru étouffer, sans parler des rencontres glaçantes possibles au détour d'un couloir.
En parallèle, la jeune interne lit le dossier de son mystérieux patient.
Cet homme est un cauchemar à lui tout seul, je dois l'avouer j'ai eu la frousse et je suis passée par des moments où je n'étais pas tranquille.
Qu'il est bon de flipper avec un livre dans les mains et même si la ville est inventée, ça se passe chez moi à côté de Cahors, Luzech... chez moi quoi, dans le Lot.
La peur peut faire agir la personne la plus responsable et réfléchie comme une ado de 15 ans.
Les personnages ne s'ennuient pas, c'est le moins que l'on puisse dire, les petits meurtres sympas se succèdent et leur façon d'agir est parfois désarmante, parfois inconcevable.
Je vous laisse imaginer les regards soupçonneux échangés par les uns et les autres.
Le principal c'est que ça bouge, que ça vive ou que ça meure, au choix.
La promesse est tenue, la fin est folle, j'adore.
Tout est dans la psychologie, écoutez ma voix et lisez ce livre maintenant, 1, 2, 3, réveillez-vous ... ou pas ...
Son premier roman, "Nuit blanche" reçoit le Prix du suspense psychologique 2ème édition 2018.
Et une tempête déferlante.
Julie est interne dans le service de médecine et n’aspire qu’à une seule chose : une nuit de garde calme. Mais l’arrivée d’un nouveau patient vient bouleverser ses projets. Un homme plongé dans le coma, escorté par deux gendarmes, va perturber la quiétude du centre hospitalier. Aussitôt après son admission, les tragédies s’enchaînent. Des malades décèdent de façon inexpliquée, un accident mortel décime des ambulanciers, et alors que la tempête isole l’hôpital du reste du monde, un crime atroce est commis.
Wouh ça sent la maîtrise et j'apprécie grandement, j'ai toujours une petite appréhension de me lancer avec un auteur que je ne connais pas.
Je le reconnais, c'est idiot, c'est comme ça qu'on découvre des pépites en papier, d'ailleurs c'est un manuscrit sélectionné par Franck Thilliez himself.
Julie est une interne débrouillarde, qui a quitté la ville de Toulouse, pour jouer les rats des champs dans un hôpital du Lot, non loin de là.
Gendarmes et ambulanciers lui confient un patient dans le coma, à la base il s'agit d'un homme extrêmement dangereux.
Quelques heures plus tard, survient une panne de courant et Julie se rend compte que la tempête qui se joue à l'extérieur a fait des dégâts effroyables.
Elle se retrouve coupée de monde, avec une petite équipe de soignants... et de patients...
L'ambiance va vite devenir invivable.
Il faut que je vous parle de l'ambiance, elle est angoissante au possible, je me sentirais presque claustrophobe alors que nous sommes dans un hôpital, l'espace de jeu est pourtant grand à la base.
C'est un huis clos qui a du chien, j'ai cru étouffer, sans parler des rencontres glaçantes possibles au détour d'un couloir.
En parallèle, la jeune interne lit le dossier de son mystérieux patient.
Cet homme est un cauchemar à lui tout seul, je dois l'avouer j'ai eu la frousse et je suis passée par des moments où je n'étais pas tranquille.
Qu'il est bon de flipper avec un livre dans les mains et même si la ville est inventée, ça se passe chez moi à côté de Cahors, Luzech... chez moi quoi, dans le Lot.
La peur peut faire agir la personne la plus responsable et réfléchie comme une ado de 15 ans.
Les personnages ne s'ennuient pas, c'est le moins que l'on puisse dire, les petits meurtres sympas se succèdent et leur façon d'agir est parfois désarmante, parfois inconcevable.
Je vous laisse imaginer les regards soupçonneux échangés par les uns et les autres.
Le principal c'est que ça bouge, que ça vive ou que ça meure, au choix.
La promesse est tenue, la fin est folle, j'adore.
Tout est dans la psychologie, écoutez ma voix et lisez ce livre maintenant, 1, 2, 3, réveillez-vous ... ou pas ...
Son premier roman, "Nuit blanche" reçoit le Prix du suspense psychologique 2ème édition 2018.
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