Marc FALVO
Stan Kurtz :
Série B
Volume 4/6
4ème de couverture :
Série B - Épisode 4/6, par Stan Kurtz :
La taule, vous connaissez ?
Moi non plus, avant que le devoir ne m’appelle derrière les barreaux d’une foutue forteresse, à la recherche d’un mystérieux taulard, et qu’un destin facétieux plonge votre cher Kurtz dans l’embarras. Qui a dit « comme d’habitude » ?
Entre des prisonniers patibulaires, des matons peu conciliants, un dirlo sadique et une overdose d’adjectifs, va falloir la jouer serrée, pas seulement au niveau des fesses. Ça va cogner mes loulous !
L’aventure, la grande, c’est maintenant, et c’est ici... après votre passage en caisse quand même. Prêts pour la balade ?
Un énorme sourire traverse mon visage en attrapant ma prochaine lecture, vous l'aurez compris c'est un tome 4 et je me demande ce que le pauvre Stan va bien encore inventer comme boulettes.
Stan se retrouve dans une situation pas croyable et oui toujours, il va être placé en détention dans la prison de Clarence.
Sa mission est d'approcher un détenu, de s'évader avec lui et de le suivre jusqu'à la cache de sa soeur.
Il va être livré à lui-même et ça ne va pas être de la tarte.
Cette intrusion est extrêmement mal perçue par le directeur de la prison et celui-ci ne va pas lui simplifier la tâche.
Comment notre personnage principal va-t-il bien pouvoir se sortir de cette galère... ça sent l'sapin cette affaire.
J'ai retrouvé le pote Stan, toujours aussi désolant, enfin je veux dire marrant.
Je ne vous le présente plus, il fait parti de la famille ou tout comme, cette fois il lâche le chapeau et le pardessus de privé pour réaliser une mission pour les flics.
Et quelle mission !! En même temps il n'a pas trop le choix...
Des situations folles à s'y casser les dents et parfois un petit coup de bol qui va lui sauver la peau.
J'ai encore rigolé comme une dinde tout le long, ce que j'ai pu aimer Stan quand il se décrit, j'ai pouffé de rire, ah les homme et leur égo surdimensionné, pardon messieurs mais la perche est tendue.
Si on l'écoute c'est un beau gosse trentenaire, ayant pris un peu de poids dernièrement et perdant quelques cheveux.
Pouah, pouah, pouah, il est gentil mais niveau beaugosse attitude et hygiène de vie il est loin du compte le pauvre.
Par contre il va clairement en baver, c'est pas vraiment le club Med all exclusive et tout ne va pas se passer aussi facilement que prévu.
Toi qui lis ma chronique j'espère t'avoir donné envie de te lancer dans les aventures de Stan Kurtz, (je fais comme lui je m'adresse au lecteur, c'est sympa je dois dire on y prend goût) tu trouveras mes avis sur tous les tomes, ci dessous.
C'est plus que clair, j'ai eu un gros coup de cœur pour cette série, qui est humoristique et envoie du paté quand il faut.
Je sens l'angoisse monter, plus que deux livres et la série se termine, non mais sérieux comment je vais faire, c'est que j'ai pris mes petites habitudes avec Stan chaque mois.
Je préviens l'auteur, j'exige un tome 7 rien que pour moi, après tout ce n'est pas moi qui ai créé l'addiction.
(Je ne peux pas tirer la langue mais le cœur y est)
Né en 1984, vivant à Lille (59), Marc Falvo a d'abord écrit pour le théâtre (Les Fauves, Redrum...) avant de publier, aux éditions du Rifle, deux premiers romans remarquables:
Un os à ronger et L'origine du blues. Suivront alors, chez Fleur Sauvage, le thriller atmosphérique Le Cri, et l'audacieuse série des Stan Kurtz..
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