Patrick S VAST
Incarnatio
4ème de couverture :
Alex Shade, tueur à la hache qui a apporté gloire et fortune à James Simmons, devient son pire cauchemar quand le romancier se met à croire que le personnage qu'il a créé s'est incarné et le pourchasse. Mais Alex Shade est-il simplement sorti de l'imagination de l'écrivain ? Ne fait-il pas partie d'un drame de son passé, tellement dérangeant qu'il l'aurait chassé de sa mémoire ? L'existence peut parfois devenir un roman tragique, et il est alors difficile de s'extirper de la fiction.
Ravie de me jeter dans ce roman, bien que les différents écrits soient différents je commence à bien cerner ce style et j'adore ça, reconnaître une plume.
Sylvia pense que son mari travaille sur son manuscrit dans son bureau, quand elle se rend compte que la pièce est vide.
La fenêtre a été laissée grande ouverte, un "help me!" tapé sur l'écran de l'ordinateur.
Depuis quelque temps déjà son comportement est troublant, il parle du personnage récurrent de ses romans comme d'une personne réelle.
Folie ou persécution ?
Ce qui fait très peur c'est qu'il s'agit d'un tueur en série...
Le lecteur est entraîné dès le commencement dans une spirale prenante.
Patrick Vast a bien compris que nous ne souhaitons pas attendre cinquante pages pour que ça bouge.
C'est un critère très important pour moi, dans Incarnatio" ça en est grisant.
Autre point primordial pour moi, c'est la qualité d'écriture et je me répète, car il s'agit de ma deuxième récidive (3 lus), mais elle est vraiment belle.
J'aime beaucoup avoir affaire aux tueurs en série, ils sont tout simplement flippants et dénuer de tout sens humain, sans limites.
Les meurtres le montrent bien, ils sont plutôt féroces, ça, c'est du thriller.
C'est un sentiment plaisant de se rendre compte que l'épouse de l'auteur (le faux, le personnage, vous suivez j'espère) nage en pleine confusion.
Qui est réellement l'homme qu'elle a épousé, peut-être ne connait-elle pas si bien son cher et tendre.
Il peut sembler cruel de le penser, mais c'est tellement bien amené dans le roman qu'on nous pardonnera, on ressent une angoisse sourde et palpable.
Des recherches dans le passé s'imposent et c'est captivant.
J'ai suivi l'enquête avec un vif intérêt, plusieurs solutions étaient possibles et j'ai sérieusement cogité.
Chaque personnage a vu sa propre histoire développée, ça sent la réflexion intense et le rendu est très réussi.
Bon j'ai envie de dire jamais deux sans trois, ce qui se traduit par trois avis enthousiastes, un auteur à suivre.
Après diverses activités, Patrick S. Vast exerce depuis 1989 comme fonctionnaire au Ministère du travail.
Intéressé très tôt par les trois disciplines Polar/Science-Fiction/Fantastique, il a écrit des nouvelles publiées dans des revues et fanzines, et notamment la revue Hauteurs. En 2009, sa nouvelle de science-fiction, « L’affaire Nokobva », fait partie du recueil « Fil rouge » publié par les éditions Saint-Martin.
« La veuve de Béthune » marque son entrée dans le monde du roman policier. « Passions sur la côte d’Opale », roman sentimental publié en 2010, ajoute une facette à une œuvre déjà éclectique.
Début 2011, paraissent simultanément ses deux nouveaux romans : un fantastique aux éditions du Riez, « L’Héritière d’Owlon », dont l’action se déroule au XIXe siècle dans la région de Dunkerque, et un polar, « Béthune, 2 minutes d’arrêt ». 2012 a vu la publication d’un troisième polar « Boulogne Stress » aux éditions Ravet-Anceau, et d’un second roman fantastique « Le loup d’Huversbecque » chez AIRVEY éditions puis en 2013, c’est au tour d’un quatrième polar en Nord, « Angoisse à louer ».
L’année 2014 voit la sortie d’un roman noir historique 14-18, « Le ruisseau rouge » chez Pôle Nord Éditions. « Igneus » (Fleur Sauvage, 2015) fait le bonheur des amateurs d’univers fantastico-thrillériques.
Son blog centralisateur permettant par ailleurs d’avoir accès à tous les autres espaces où il s’exprime:
http://patricksvast.hautetfort.com/
Intéressé très tôt par les trois disciplines Polar/Science-Fiction/Fantastique, il a écrit des nouvelles publiées dans des revues et fanzines, et notamment la revue Hauteurs. En 2009, sa nouvelle de science-fiction, « L’affaire Nokobva », fait partie du recueil « Fil rouge » publié par les éditions Saint-Martin.
« La veuve de Béthune » marque son entrée dans le monde du roman policier. « Passions sur la côte d’Opale », roman sentimental publié en 2010, ajoute une facette à une œuvre déjà éclectique.
Début 2011, paraissent simultanément ses deux nouveaux romans : un fantastique aux éditions du Riez, « L’Héritière d’Owlon », dont l’action se déroule au XIXe siècle dans la région de Dunkerque, et un polar, « Béthune, 2 minutes d’arrêt ». 2012 a vu la publication d’un troisième polar « Boulogne Stress » aux éditions Ravet-Anceau, et d’un second roman fantastique « Le loup d’Huversbecque » chez AIRVEY éditions puis en 2013, c’est au tour d’un quatrième polar en Nord, « Angoisse à louer ».
L’année 2014 voit la sortie d’un roman noir historique 14-18, « Le ruisseau rouge » chez Pôle Nord Éditions. « Igneus » (Fleur Sauvage, 2015) fait le bonheur des amateurs d’univers fantastico-thrillériques.
Son blog centralisateur permettant par ailleurs d’avoir accès à tous les autres espaces où il s’exprime:
http://patricksvast.hautetfort.com/
Merci pour la recommandation ! Je ne connais pas cet auteur et comme toi, j'aime découvrir de nouvelles plumes.
RépondreSupprimerAvec plaisir Richard bisouss
RépondreSupprimerA suivre oui :) Quel était le premier lu ma belle ? Il doit me manquer celui-là ;)
RépondreSupprimerC'est Igneus
SupprimerOk je note, merci :D
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