Amélie ANTOINE
Quand on n'a que l'humour...
4ème de couverture :
C'est l'histoire d'un humoriste en pleine gloire, adulé de tous, mais qui pense ne pas le mériter.
Un homme que tout le monde envie et admire, mais que personne ne connaît vraiment.
Un homme blessé qui s'est accroché au rire comme on se cramponne à une bouée de sauvetage.
C'est aussi l'histoire d'un garçon qui aurait voulu un père plus présent.
Un garçon qui a grandi dans l'attente et l'incompréhension.
Un garçon qui a laissé la colère et le ressentiment le dévorer.
C'est une histoire de paillettes et de célébrité, mais, surtout, l'histoire d'un père et d'un fils à qui il aura fallu plus d'une vie pour se trouver.
Edouard Besson est un humoriste qui n'a pas vraiment confiance en lui.
Il remplit des scènes et a du succès, mais il espère secrètement que les gens ne découvriront jamais la supercherie.
Cela remonte à l'enfance, un père brutal et un bégaiement traumatisant qui lui a valu les pires humiliations.
Lors de bravades entre gosses, un drame survient...
Je comprends parfaitement le stress ressenti avant de rentrer dans l'arène, c'est sûr que ça semble paradoxal pour quelqu'un dont c'est le métier.
Dans ce roman, il y a le rire en façade et ce qui se trouve derrière, en coulisse, est complexe, à vif et difficile.
Edouard va passer sa vie avec un poids énorme sur l'estomac et sa conscience ne le laissera pas en paix.
L'auteure s'engage sur une voie qui peut être douloureuse avec la relation père/fils.
Comment se construire sans l'attention et l'amour d'un père?
Le cœur est ébréché et pourtant il faut faire avec et avancer.
J'ai ressenti la douleur, les remords et un beau gâchis.
De nombreuses personnes cherchent à éviter à tout prix, de reproduire les erreurs de leurs chers ascendants.
Exercice au combien difficile.
J'ai aimé cette lecture, elle fait sacrément réfléchir, j'ai d'ailleurs une image qui me vient à l'esprit en refermant ce roman, celle d'un clown triste qui pleure.
Comme quoi, la célébrité et le l'argent ne font pas tout, quand on sait que l'auteure s'est inspirée de Robin Williams suite à son suicide, ça donne vraiment des frissons.
On croit connaitre les gens, mais ce n'est pas une évidence...
Après avoir publié en 2011 un récit autobiographique, "Combien de temps", Amélie Antoine choisit l'autoédition en 2015 pour son premier roman, "Fidèle au poste", qui connaît très vite un immense succès numérique : plus de 250 000 lecteurs plébiscitent ce roman à suspense.
Il obtient en 2015 le premier Prix Amazon de l'autoédition, avant de sortir aux éditions Michel Lafon en mars 2016 puis aux Etats-Unis.
Son second roman, "Au nom de quoi", est d'abord publié sous le pseudonyme de Dorian Meune en mai 2016. Ce texte hommage revient sur la soirée du 13 novembre 2015 au Bataclan, par le biais de personnages fictifs.
Un homme que tout le monde envie et admire, mais que personne ne connaît vraiment.
Un homme blessé qui s'est accroché au rire comme on se cramponne à une bouée de sauvetage.
C'est aussi l'histoire d'un garçon qui aurait voulu un père plus présent.
Un garçon qui a grandi dans l'attente et l'incompréhension.
Un garçon qui a laissé la colère et le ressentiment le dévorer.
C'est une histoire de paillettes et de célébrité, mais, surtout, l'histoire d'un père et d'un fils à qui il aura fallu plus d'une vie pour se trouver.
Edouard Besson est un humoriste qui n'a pas vraiment confiance en lui.
Il remplit des scènes et a du succès, mais il espère secrètement que les gens ne découvriront jamais la supercherie.
Cela remonte à l'enfance, un père brutal et un bégaiement traumatisant qui lui a valu les pires humiliations.
Lors de bravades entre gosses, un drame survient...
Je comprends parfaitement le stress ressenti avant de rentrer dans l'arène, c'est sûr que ça semble paradoxal pour quelqu'un dont c'est le métier.
Dans ce roman, il y a le rire en façade et ce qui se trouve derrière, en coulisse, est complexe, à vif et difficile.
Edouard va passer sa vie avec un poids énorme sur l'estomac et sa conscience ne le laissera pas en paix.
L'auteure s'engage sur une voie qui peut être douloureuse avec la relation père/fils.
Comment se construire sans l'attention et l'amour d'un père?
Le cœur est ébréché et pourtant il faut faire avec et avancer.
J'ai ressenti la douleur, les remords et un beau gâchis.
De nombreuses personnes cherchent à éviter à tout prix, de reproduire les erreurs de leurs chers ascendants.
Exercice au combien difficile.
J'ai aimé cette lecture, elle fait sacrément réfléchir, j'ai d'ailleurs une image qui me vient à l'esprit en refermant ce roman, celle d'un clown triste qui pleure.
Comme quoi, la célébrité et le l'argent ne font pas tout, quand on sait que l'auteure s'est inspirée de Robin Williams suite à son suicide, ça donne vraiment des frissons.
On croit connaitre les gens, mais ce n'est pas une évidence...
Après avoir publié en 2011 un récit autobiographique, "Combien de temps", Amélie Antoine choisit l'autoédition en 2015 pour son premier roman, "Fidèle au poste", qui connaît très vite un immense succès numérique : plus de 250 000 lecteurs plébiscitent ce roman à suspense.
Il obtient en 2015 le premier Prix Amazon de l'autoédition, avant de sortir aux éditions Michel Lafon en mars 2016 puis aux Etats-Unis.
Son second roman, "Au nom de quoi", est d'abord publié sous le pseudonyme de Dorian Meune en mai 2016. Ce texte hommage revient sur la soirée du 13 novembre 2015 au Bataclan, par le biais de personnages fictifs.
Un sacré bouquin, woaw !!
RépondreSupprimerTrès sympa oui !!
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