Solène BAKOWSKI
Une bonne intention
Disponible en epub
puis en papier à l'automne
4ème de couverture :
« Tous passeront à côté du sacrifice de l’un, de la confiance aveugle de l’autre, tourneront le dos à cet amour dingue, car c’est de ça qu’il s’agit, cet amour inconditionnel d’un jeune homme pour une fillette qui écrivait des lettres, cet amour d’une petite fille pour le jeune homme qui savait lui inventer des histoires. »
Mati a neuf ans. Elle a perdu sa maman. Son père s’enlise dans le deuil et sa grand-mère s’efforce, à sa manière, de recoller les morceaux. Un soir, la petite ne rentre pas de l’école. On imagine le pire, évidemment. Comment croire que tout, pourtant, partait d’une bonne intention ?
Le nouveau roman de Solène Bakowski nous offre, avec une ampleur et une acuité décuplées, le frisson gorgé d’amour qui a fait de son premier roman, Un Sac, un livre inoubliable.
Ma précédente lecture "Un sac", a laissé en moi une impression agréablement surprenante.
J'ai scruté ce nouveau roman avec la plus vive attention.
Quoi de plus horrible pour une petite fille que de perdre sa maman, Mati n'en peut plus de la souffrance, celle de son père surtout.
Un an après, Nicolas est toujours aussi mal et n'arrive pas à faire face à cet événement irrémédiable.
La grand-mère de Mati soulage leur quotidien autant que possible, jusqu'au jour où la petite fille ne rentre pas de l'école et reste introuvable...
Enlèvement? Fugue? Que s'est-il passé, je suis face à mon pire cauchemar, ne pas savoir où se trouve votre enfant, ne pas savoir s'il est entre les pattes d'un monstre, ne pas savoir si vous le retrouverez un jour ... vivant ou dans quel état.
Je n'ose même pas me mettre à la place de Nicolas et de sa mère, la mamie de Mati.
Les nerfs sont tendus au maximum, les recherches, les incertitudes, le tout est carrément stressant.
Les rebondissements et les surprises sont nombreux.
Une histoire grave, profonde et poignante et même si j'ai préféré "Un sac" tout simplement parce que le sujet du dernier roman me fait peur, Solène Bakowski a su faire filtrer tout un tas d'émotions.
Deuxième roman lu et deuxième fois étonnée par la tournure que prennent les récits, je pense que c'est la force de l'auteure et sa signature pour le coup.
Même le final est déroutant.
Mati a neuf ans. Elle a perdu sa maman. Son père s’enlise dans le deuil et sa grand-mère s’efforce, à sa manière, de recoller les morceaux. Un soir, la petite ne rentre pas de l’école. On imagine le pire, évidemment. Comment croire que tout, pourtant, partait d’une bonne intention ?
Le nouveau roman de Solène Bakowski nous offre, avec une ampleur et une acuité décuplées, le frisson gorgé d’amour qui a fait de son premier roman, Un Sac, un livre inoubliable.
Ma précédente lecture "Un sac", a laissé en moi une impression agréablement surprenante.
J'ai scruté ce nouveau roman avec la plus vive attention.
Quoi de plus horrible pour une petite fille que de perdre sa maman, Mati n'en peut plus de la souffrance, celle de son père surtout.
Un an après, Nicolas est toujours aussi mal et n'arrive pas à faire face à cet événement irrémédiable.
La grand-mère de Mati soulage leur quotidien autant que possible, jusqu'au jour où la petite fille ne rentre pas de l'école et reste introuvable...
Enlèvement? Fugue? Que s'est-il passé, je suis face à mon pire cauchemar, ne pas savoir où se trouve votre enfant, ne pas savoir s'il est entre les pattes d'un monstre, ne pas savoir si vous le retrouverez un jour ... vivant ou dans quel état.
Je n'ose même pas me mettre à la place de Nicolas et de sa mère, la mamie de Mati.
Les nerfs sont tendus au maximum, les recherches, les incertitudes, le tout est carrément stressant.
Les rebondissements et les surprises sont nombreux.
Une histoire grave, profonde et poignante et même si j'ai préféré "Un sac" tout simplement parce que le sujet du dernier roman me fait peur, Solène Bakowski a su faire filtrer tout un tas d'émotions.
Deuxième roman lu et deuxième fois étonnée par la tournure que prennent les récits, je pense que c'est la force de l'auteure et sa signature pour le coup.
Même le final est déroutant.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire