Dominique MAISONS
Tout le monde aime Bruce Willis
4ème de couverture :
Dans les coulisses poisseuses du rêve américain, il ne fait pas bon être une actrice prometteuse.
Rose Century a vingt ans et pèse déjà des millions de dollars au box-office.
Beaucoup tueraient pour prendre sa place.
Au-delà de ces apparences, la vie de Rose n'a pourtant rien d'enviable. Un agent qui la manipule comme une enfant ; des réalisateurs qui se comportent en prédateurs sexuels ; des amis d'enfance qui sombrent dans la drogue ; une mère qui lui fait porter ses ambitions manquées ; un père milliar daire qui la méprise.
Et une soeur, morte dans des circonstances troubles.
Rose n'en peut plus, elle veut fuir ce cauchemar doré. Mais Los Angeles ne peut pas la laisser disparaître. On a besoin d'elle pour servir la machine à rêve, et les ambitions électo rales de son père.
Alors, si Rose pose problème... Il va falloir trouver très vite la solution.
L'auteur nous parle entre autres des petites actrices des séries Disney Chanel, qui à l'âge adulte, jouent la surenchère au grand n'importe quoi.
Genre sextape et provocation en tous genres.
C'est plutôt original, il fallait y penser, la devise reste "souriez, vous êtes filmé".
Rose est une actrice américaine populaire, mal née, qui a tendance à faire n'importe quoi pour avoir l'impression de vivre sa vie et non celle qu'on lui a créée de toute pièce, trop bien rangée, trop parfaite.
Jusqu'au jour où c'est le gros dérapage, la boulette de trop, sa famille va faire en sorte que ça ne se reproduise pas...
Des sujets importants à mes yeux sont rencontrés, comme le tout pouvoir des producteurs sur les actrices.
Cette impunité sexuelle dans ce milieu pourri n'est pas admissible, et oui l'offre et la demande en sont la loi.
Ou encore la vie bridée d'une jeune femme en Arabie Saoudite, avec ses tonnes d'interdictions qui privent de liberté.
Le roman, composé de deux parties prend un virage à angle droit dans la dernière partie où l'action se précipite.
J'ai retenu ma respiration, l'enjeu est tellement fort, il y a vraiment de quoi devenir fou.
Autant la célébrité est extrêmement difficile à gérer, les nombreux suicides de stars peuvent en témoigner, autant ce qu'il se passe dans cette deuxième partie est à hurler de désespoir.
J'en taperais des pieds de rage, c'est indescriptible.
La fin est une véritable jubilation littéraire, vous vous êtes dit, mais quel titre bizarre, atypique et pourquoi pas attirant, Dominique Maisons a foncé dans l'originalité, je n'ai pas marché, j'ai couru.
Dominique Maisons est auteur de roman policier.
Il a été éditeur de presse, traducteur de bande-dessinée, a travaillé 10 ans dans la musique, a coproduit un long métrage (un thriller franco-chinois, "L’œil du silence" ) ainsi que les DVD de "La Vie privée des animaux" de Patrick Bouchitey.
Son premier thriller, "Le psychopompe" (2010), a été couronné du Grand Prix VSD du polar 2011 (réédité chez Pocket sous le titre "Les Violeurs d’âme").
Son précédent roman, Le festin des fauves, a été sélectionné pour le Prix Polar 2016 de Cognac.
Rose Century a vingt ans et pèse déjà des millions de dollars au box-office.
Beaucoup tueraient pour prendre sa place.
Au-delà de ces apparences, la vie de Rose n'a pourtant rien d'enviable. Un agent qui la manipule comme une enfant ; des réalisateurs qui se comportent en prédateurs sexuels ; des amis d'enfance qui sombrent dans la drogue ; une mère qui lui fait porter ses ambitions manquées ; un père milliar daire qui la méprise.
Et une soeur, morte dans des circonstances troubles.
Rose n'en peut plus, elle veut fuir ce cauchemar doré. Mais Los Angeles ne peut pas la laisser disparaître. On a besoin d'elle pour servir la machine à rêve, et les ambitions électo rales de son père.
Alors, si Rose pose problème... Il va falloir trouver très vite la solution.
L'auteur nous parle entre autres des petites actrices des séries Disney Chanel, qui à l'âge adulte, jouent la surenchère au grand n'importe quoi.
Genre sextape et provocation en tous genres.
C'est plutôt original, il fallait y penser, la devise reste "souriez, vous êtes filmé".
Rose est une actrice américaine populaire, mal née, qui a tendance à faire n'importe quoi pour avoir l'impression de vivre sa vie et non celle qu'on lui a créée de toute pièce, trop bien rangée, trop parfaite.
Jusqu'au jour où c'est le gros dérapage, la boulette de trop, sa famille va faire en sorte que ça ne se reproduise pas...
Des sujets importants à mes yeux sont rencontrés, comme le tout pouvoir des producteurs sur les actrices.
Cette impunité sexuelle dans ce milieu pourri n'est pas admissible, et oui l'offre et la demande en sont la loi.
Ou encore la vie bridée d'une jeune femme en Arabie Saoudite, avec ses tonnes d'interdictions qui privent de liberté.
Le roman, composé de deux parties prend un virage à angle droit dans la dernière partie où l'action se précipite.
J'ai retenu ma respiration, l'enjeu est tellement fort, il y a vraiment de quoi devenir fou.
Autant la célébrité est extrêmement difficile à gérer, les nombreux suicides de stars peuvent en témoigner, autant ce qu'il se passe dans cette deuxième partie est à hurler de désespoir.
J'en taperais des pieds de rage, c'est indescriptible.
La fin est une véritable jubilation littéraire, vous vous êtes dit, mais quel titre bizarre, atypique et pourquoi pas attirant, Dominique Maisons a foncé dans l'originalité, je n'ai pas marché, j'ai couru.
Dominique Maisons est auteur de roman policier.
Il a été éditeur de presse, traducteur de bande-dessinée, a travaillé 10 ans dans la musique, a coproduit un long métrage (un thriller franco-chinois, "L’œil du silence" ) ainsi que les DVD de "La Vie privée des animaux" de Patrick Bouchitey.
Son premier thriller, "Le psychopompe" (2010), a été couronné du Grand Prix VSD du polar 2011 (réédité chez Pocket sous le titre "Les Violeurs d’âme").
Son précédent roman, Le festin des fauves, a été sélectionné pour le Prix Polar 2016 de Cognac.
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