David KHARA
Atomes crochus
4ème de couverture :
Aéroport de Fort Worth, Dallas. Deux voyageurs essoufflés viennent de rater leur vol pour Paris et se le reprochent mutuellement : Enzo Meazza, un criminel en col blanc tout juste sorti de prison, et Janet Livingston-Pierce, ingénieur en déplacement professionnel. L’avion explose quelques secondes après son décollage… À peine remis du choc, ils sont pris pour cible par des hommes armés. Pourquoi en ont-ils après eux ? Leur commanditaire serait-il le mystérieux Griffon traqué par le FBI depuis des années ? Une seule certitude : Janet et Enzo n’auraient jamais dû se rencontrer…
J'ai très clairement dévoré la trilogie Bleiberg, certes mes mots vont être forts mais pour moi elle relève de l'excellence, j'attendais avec impatience le nouveau roman.
Enzo sort à peine de prison qu'il se dirige déjà vers l'aéroport.
Il rencontre Janet lors d'un accrochage en voiture, autant dire que leurs relations débutent mal.
Après avoir effectué toutes les démarches administratives nécessaires, ils arrivent enfin à l'aéroport, l'hôtesse les informe qu'ils étaient enregistrés sur le même avion et que ce dernier vient juste de décoller.
Sur ces bonnes paroles, une énorme explosion retentit et s'abat sur l'aéroport...
Regards en chiens de faïence, grincements de dents, paroles assassines, il semblerait que ce couple de malheur ne s'entendent pas très bien, ils vont pourtant faire un bout de chemin ensemble.
Pour le lecteur c'est au contraire assez marrant, je dirais même croustillant.
Voilà un roman digne d'un film d'action, entre courses-poursuites et contrats de nettoyage, il va être difficile de rester en vie pour nos chers personnages.
Le rythme est haletant il faut régulièrement reprendre sa respiration et gare au point de côté.
C'est ce que j'aime avec le thriller français et l'auteur ne fait pas exception malgré un état des lieux aux Etats-Unis, le style reste, c'est grisant.
Renversant aussi collerait bien à l'histoire, voilà, si je devais ne garder qu'un mot ce serait renversant.
Et Dieu sait que j'aime me faire bousculer dans mes lectures.
L'idée d'une telle relation entre le flic et le taulard est excellente, je ne pense pas croiser souvent cette situation.
Je ne dirais pas laquelle bien sûr mais il est certain qu'elle est exploitée avec brio, belle réflexion Monsieur l'auteur.
Amitié, trahison, amour, des sujets tellement complexes mais qui peuvent être creusés à volonté.
D'ailleurs, le dénouement tombe sur un coup de pied retourné bien appuyé dans le foie, c'est saisissant.
L'action étant retombée j'ai cru pouvoir reprendre mon souffle et bien pas du tout, ce n'était qu'un leurre.
Succulent jusqu'à la dernière page, j'ai adoré !!!
Amoureux de la Bretagne, David S. Khara est installé à Rennes depuis le milieu des années 1980.
Après un passage dans le journalisme à l'Agence France-Presse, il devient concepteur-rédacteur publicitaire, puis dirigeant d'une société spécialisée dans la communication sur les nouveaux médias de 1993 à 2009.
Écrivant pour son plaisir depuis toujours, il se lance véritablement dans l'aventure en 2009 et sort en mars 2010 un thriller fantastique aux Éditions Rivière blanche: "Les Vestiges de l'aube".
Sa première nouvelle a été publiée en décembre 2010 dans une anthologie intitulée "De capes et d'esprits" (Éditions Rivière blanche).
Passionné de littérature classique, il se réclame de la vague des romans d'aventure populaires. Dans "Le Projet Bleiberg", paru en octobre 2010 aux Éditions Critic (France) et en août 2011 aux Éditions Libre Expression, il nous entraîne dans les arcanes secrets de la Seconde Guerre mondiale. Une adaptation cinématographique est prévue.
La suite du "Projet Bleiberg," "Le Projet Shiro," sort en novembre 2011, et le troisième tome, Le projet Morgenstern, début 2013.
Par ailleurs, les Éditions Michel Lafon publient une autre série de cet auteur et ont décidé d'en faire le nouveau prodige du polar français en imprimant "Les Vestiges de l'aube" à 30 000 exemplaires.
David a depuis peu commencé à réaliser un de ses rêves, à savoir l'écriture de scénarios pour le cinéma, en devenant scénariste-conseil pour Alain Berberian.
Aéroport de Fort Worth, Dallas. Deux voyageurs essoufflés viennent de rater leur vol pour Paris et se le reprochent mutuellement : Enzo Meazza, un criminel en col blanc tout juste sorti de prison, et Janet Livingston-Pierce, ingénieur en déplacement professionnel. L’avion explose quelques secondes après son décollage… À peine remis du choc, ils sont pris pour cible par des hommes armés. Pourquoi en ont-ils après eux ? Leur commanditaire serait-il le mystérieux Griffon traqué par le FBI depuis des années ? Une seule certitude : Janet et Enzo n’auraient jamais dû se rencontrer…
J'ai très clairement dévoré la trilogie Bleiberg, certes mes mots vont être forts mais pour moi elle relève de l'excellence, j'attendais avec impatience le nouveau roman.
Enzo sort à peine de prison qu'il se dirige déjà vers l'aéroport.
Il rencontre Janet lors d'un accrochage en voiture, autant dire que leurs relations débutent mal.
Après avoir effectué toutes les démarches administratives nécessaires, ils arrivent enfin à l'aéroport, l'hôtesse les informe qu'ils étaient enregistrés sur le même avion et que ce dernier vient juste de décoller.
Sur ces bonnes paroles, une énorme explosion retentit et s'abat sur l'aéroport...
Regards en chiens de faïence, grincements de dents, paroles assassines, il semblerait que ce couple de malheur ne s'entendent pas très bien, ils vont pourtant faire un bout de chemin ensemble.
Pour le lecteur c'est au contraire assez marrant, je dirais même croustillant.
Voilà un roman digne d'un film d'action, entre courses-poursuites et contrats de nettoyage, il va être difficile de rester en vie pour nos chers personnages.
Le rythme est haletant il faut régulièrement reprendre sa respiration et gare au point de côté.
C'est ce que j'aime avec le thriller français et l'auteur ne fait pas exception malgré un état des lieux aux Etats-Unis, le style reste, c'est grisant.
Renversant aussi collerait bien à l'histoire, voilà, si je devais ne garder qu'un mot ce serait renversant.
Et Dieu sait que j'aime me faire bousculer dans mes lectures.
L'idée d'une telle relation entre le flic et le taulard est excellente, je ne pense pas croiser souvent cette situation.
Je ne dirais pas laquelle bien sûr mais il est certain qu'elle est exploitée avec brio, belle réflexion Monsieur l'auteur.
Amitié, trahison, amour, des sujets tellement complexes mais qui peuvent être creusés à volonté.
D'ailleurs, le dénouement tombe sur un coup de pied retourné bien appuyé dans le foie, c'est saisissant.
L'action étant retombée j'ai cru pouvoir reprendre mon souffle et bien pas du tout, ce n'était qu'un leurre.
Succulent jusqu'à la dernière page, j'ai adoré !!!
Amoureux de la Bretagne, David S. Khara est installé à Rennes depuis le milieu des années 1980.
Après un passage dans le journalisme à l'Agence France-Presse, il devient concepteur-rédacteur publicitaire, puis dirigeant d'une société spécialisée dans la communication sur les nouveaux médias de 1993 à 2009.
Écrivant pour son plaisir depuis toujours, il se lance véritablement dans l'aventure en 2009 et sort en mars 2010 un thriller fantastique aux Éditions Rivière blanche: "Les Vestiges de l'aube".
Sa première nouvelle a été publiée en décembre 2010 dans une anthologie intitulée "De capes et d'esprits" (Éditions Rivière blanche).
Passionné de littérature classique, il se réclame de la vague des romans d'aventure populaires. Dans "Le Projet Bleiberg", paru en octobre 2010 aux Éditions Critic (France) et en août 2011 aux Éditions Libre Expression, il nous entraîne dans les arcanes secrets de la Seconde Guerre mondiale. Une adaptation cinématographique est prévue.
La suite du "Projet Bleiberg," "Le Projet Shiro," sort en novembre 2011, et le troisième tome, Le projet Morgenstern, début 2013.
Par ailleurs, les Éditions Michel Lafon publient une autre série de cet auteur et ont décidé d'en faire le nouveau prodige du polar français en imprimant "Les Vestiges de l'aube" à 30 000 exemplaires.
David a depuis peu commencé à réaliser un de ses rêves, à savoir l'écriture de scénarios pour le cinéma, en devenant scénariste-conseil pour Alain Berberian.
peut être un tantinet moins enthousiaste que toi mais j'ai tout de même passé un trés bon moment avec ce bouquin, lu quasiment d'une traite.
RépondreSupprimerJ'ai adoré!!
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