Ludovic MISEROLE
L'affaire Rose Keller
Sade
Sade
4ème de couverture :
Rose Keller est au chômage depuis plus d’un mois. Elle est réduite, en ce dimanche de Pâques du 3 avril 1768, à mendier sur la Place des Victoires à Paris. En acceptant de suivre, pour un écu, un jeune homme soigneusement habillé qui a besoin de quelqu’un pour un peu de ménage dans sa maison d’Arcueil, elle ne peut se douter qu’elle se dirige tout droit vers l’enfer. Elle ne sait pas encore que l’homme qui vient de l’engager n’est autre que Donatien Alphonse François de Sade, celui qu’on surnommera « le divin marquis »…
J'ai eu peur de lire Ludovic Miserole, et ce à plusieurs reprises, à cause du style historique de ses romans.
Et oui, je suis plus thriller à la base, mais il faut dire que le récit est romancé et totalement prenant.
Rose Keller accepte de suivre un homme, pour effectuer de menus travaux de ménage dans sa maison de campagne, ce qui est toujours mieux que de faire la manche dans le froid.
Quand elle se rend compte qu'il s'agit d'un piège où on la retient contre son gré, il est déjà trop tard...
Le travail de documentation et de recherche semble incroyable, après il est assez évident que nous avons affaire à un passionné d'histoire.
Dire que j'ai failli passer à côté de cet auteur qui a un talant d'écriture certain.
Et puis pour être honnête, j'étais aussi très intriguée par l'histoire du Marquis de Sade.
Sujet ô combien controversé et je dois le reconnaître, je ne l'ai jamais lu, je comprends beaucoup de choses désormais.
Il s'agit d'un violeur, ni plus ni moins, ce type pouvait assouvir ses crimes barbares avec facilité.
C'est un monstre.
Dans les années 1700, il devait être tellement aisé de tromper une femme sans argent et de l'attirer dans ses filets, elles étaient sûrement nombreuses à faire la manche ou à tapiner.
D'ailleurs, j'apprécie énormément de découvrir cet homme à travers les yeux et la plume de Ludovic Miserole, je sais que je ne lirai pas Sade lui-même, l'apologie du viol et de la barbarie ne m'intéresse pas.
Ça c'est un choix tout à fait personnel, il n'y a rien de dissuasif ou d'incitatif dans le roman., je lutte contre les violences faites aux femmes donc je ne lis ni écoute les créations d'hommes violents ou meurtriers.
Il s'agit là d'une double découverte, autant de l'auteur que du personnage qui n'est pas fictif pour autant, ce qui change et j'ai énormément apprécié cette lecture.
Au moins, on peut dire que je sais à quoi m'en tenir, et pour l'un qui est talentueux et pour l'autre qui n'était qu'une sombre pourriture.
Je lirai le prochain roman, maintenant je le sais.
Après le succès de son premier ouvrage "Rosalie Lamorlière", dernière servante de Marie-Antoinette, Ludovic Miserole nous invite à nouveau à rencontrer un personnage méconnu de notre histoire.
Avec un talent indéniable, il combine la vérité historique, puisée minutieusement dans les sources, et l’invention, autrement dit, il marie subtilement histoire et fiction pour mettre en scène un passé révolu. Derrière le portrait de Zamor se dessine, en filigrane, celui des héros – les grands, que nous connaissons, comme les anonymes, les "humbles" qui ont œuvré dans l’ombre – d’une France révolutionnaire et post-révolutionnaire.
J'ai eu peur de lire Ludovic Miserole, et ce à plusieurs reprises, à cause du style historique de ses romans.
Et oui, je suis plus thriller à la base, mais il faut dire que le récit est romancé et totalement prenant.
Rose Keller accepte de suivre un homme, pour effectuer de menus travaux de ménage dans sa maison de campagne, ce qui est toujours mieux que de faire la manche dans le froid.
Quand elle se rend compte qu'il s'agit d'un piège où on la retient contre son gré, il est déjà trop tard...
Le travail de documentation et de recherche semble incroyable, après il est assez évident que nous avons affaire à un passionné d'histoire.
Dire que j'ai failli passer à côté de cet auteur qui a un talant d'écriture certain.
Et puis pour être honnête, j'étais aussi très intriguée par l'histoire du Marquis de Sade.
Sujet ô combien controversé et je dois le reconnaître, je ne l'ai jamais lu, je comprends beaucoup de choses désormais.
Il s'agit d'un violeur, ni plus ni moins, ce type pouvait assouvir ses crimes barbares avec facilité.
C'est un monstre.
Dans les années 1700, il devait être tellement aisé de tromper une femme sans argent et de l'attirer dans ses filets, elles étaient sûrement nombreuses à faire la manche ou à tapiner.
D'ailleurs, j'apprécie énormément de découvrir cet homme à travers les yeux et la plume de Ludovic Miserole, je sais que je ne lirai pas Sade lui-même, l'apologie du viol et de la barbarie ne m'intéresse pas.
Ça c'est un choix tout à fait personnel, il n'y a rien de dissuasif ou d'incitatif dans le roman., je lutte contre les violences faites aux femmes donc je ne lis ni écoute les créations d'hommes violents ou meurtriers.
Il s'agit là d'une double découverte, autant de l'auteur que du personnage qui n'est pas fictif pour autant, ce qui change et j'ai énormément apprécié cette lecture.
Au moins, on peut dire que je sais à quoi m'en tenir, et pour l'un qui est talentueux et pour l'autre qui n'était qu'une sombre pourriture.
Je lirai le prochain roman, maintenant je le sais.
Après le succès de son premier ouvrage "Rosalie Lamorlière", dernière servante de Marie-Antoinette, Ludovic Miserole nous invite à nouveau à rencontrer un personnage méconnu de notre histoire.
Avec un talent indéniable, il combine la vérité historique, puisée minutieusement dans les sources, et l’invention, autrement dit, il marie subtilement histoire et fiction pour mettre en scène un passé révolu. Derrière le portrait de Zamor se dessine, en filigrane, celui des héros – les grands, que nous connaissons, comme les anonymes, les "humbles" qui ont œuvré dans l’ombre – d’une France révolutionnaire et post-révolutionnaire.
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