Philippe HAURET
Je suis un guépard
4ème de couverture :
Le jour, Lino, employé anonyme d'une grosse boîte, trime sans passion au 37e étage d'une tour parisienne. La nuit, dans son studio miteux, il cogite, désespère, noircit des pages blanches et se rêve écrivain... Un peu plus loin, Jessica arpente les rues, fait la manche et lutte chaque jour pour survivre. Deux âmes perdues qui ne vont pas tarder à se télescoper et tenter de s'apprivoiser, entre désir, scrupule, débrouille et désillusion... Jusqu'au jour où Jessica fait la connaissance de Melvin, un jeune et riche businessman qui s'ennuie ferme au bras de la somptueuse Charlène. Deux univers vont alors s'entremêler pour le meilleur et surtout pour le pire...
Je suis désormais cet auteur et j'ai aussi beaucoup aimé son précédent roman, vous trouverez mon avis en cliquant sur ce lien : Que Dieu me pardonne
Lino s'ennuie ferme au travail et dans sa vie qui est, disons-le plutôt insipide.
Il n'y a que l'écriture qui semble l'éveiller un peu.
Un soir en rentrant chez lui, il va croiser une SDF qui squatte son palier.
Excédé de ne pas pouvoir continuer son train-train tranquillement, il va finir par lui proposer un morceau de pizza...
Ce roman démontre un bel équilibre entre l’opulence et son contraire c'est à dire rien, à part le manque de confort et de nourriture.
C'est assez fou tout ce que le manque d'argent peut créer, il peut même pousser à certaines extrémités regrettables.
Ni polar, ni thriller, j'ai beaucoup aimé trouver ce que j'ai lu dans ce roman noir, soit le quotidien de deux personnes assez différentes qui se découvrent et s'apprivoisent.
Dans le bonheur ou la douleur, telle est la question...
Je retiendrais cette impression d'écriture assurée, c'est pourtant le deuxième roman que je lis de Philippe Hauret, mais quand je suis saisie par cette sensation, je suis toujours obligée de le dire ou de le redire.
Il faut lire le livre pour en comprendre le titre, on comprend alors ce qu'il cache et pourquoi le personnage féminin est torturé.
La violence est insidieuse, mais elle est le point de départ de tout.
Vous ne comprenez rien à mon blablatage, oui ce sont des choses qui arrivent et pour traduire brièvement ça veut dire, lisez-le vous-même ça vaut le coup.
Philippe Hauret est né en 1963 à Chamalières. Il passe son enfance sur la Côte d’Azur, entre Nice et Saint-Tropez avant de venir s'installer sur Paris.
Il travaille aujourd'hui pour la bibliothèque d'une université.
Je suis désormais cet auteur et j'ai aussi beaucoup aimé son précédent roman, vous trouverez mon avis en cliquant sur ce lien : Que Dieu me pardonne
Lino s'ennuie ferme au travail et dans sa vie qui est, disons-le plutôt insipide.
Il n'y a que l'écriture qui semble l'éveiller un peu.
Un soir en rentrant chez lui, il va croiser une SDF qui squatte son palier.
Excédé de ne pas pouvoir continuer son train-train tranquillement, il va finir par lui proposer un morceau de pizza...
Ce roman démontre un bel équilibre entre l’opulence et son contraire c'est à dire rien, à part le manque de confort et de nourriture.
C'est assez fou tout ce que le manque d'argent peut créer, il peut même pousser à certaines extrémités regrettables.
Ni polar, ni thriller, j'ai beaucoup aimé trouver ce que j'ai lu dans ce roman noir, soit le quotidien de deux personnes assez différentes qui se découvrent et s'apprivoisent.
Dans le bonheur ou la douleur, telle est la question...
Je retiendrais cette impression d'écriture assurée, c'est pourtant le deuxième roman que je lis de Philippe Hauret, mais quand je suis saisie par cette sensation, je suis toujours obligée de le dire ou de le redire.
Il faut lire le livre pour en comprendre le titre, on comprend alors ce qu'il cache et pourquoi le personnage féminin est torturé.
La violence est insidieuse, mais elle est le point de départ de tout.
Vous ne comprenez rien à mon blablatage, oui ce sont des choses qui arrivent et pour traduire brièvement ça veut dire, lisez-le vous-même ça vaut le coup.
Philippe Hauret est né en 1963 à Chamalières. Il passe son enfance sur la Côte d’Azur, entre Nice et Saint-Tropez avant de venir s'installer sur Paris.
Il travaille aujourd'hui pour la bibliothèque d'une université.
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