Marc FALVO
Stan Kurtz
Série B
Volume 3/6
La meute
4ème de couverture :
Depuis que mon père est dans le coma, j'ai rouvert la porte à mes démons et ces enflures ont fait un double des clés. Mais c'est pas le pire, vu qu'à l'instant où je vous cause je vais étaler ma belle tronche sur un parvis d'église. Flashback… Une semaine plus tôt, Klugman m'assigne une affaire, des gens bouffés en pleine rue par d'autres gens. Je traque cette meute lâchée en ville avant de croiser la route d'un reporter encore plus décati que moi, qui se révélera crucial.
Sinon, le rapport avec ce foutu parvis ? Qui lira verra, mes loulous.
Sinon, le rapport avec ce foutu parvis ? Qui lira verra, mes loulous.
Quand on a commencé la série B il est trop tard, je vous préviens je suis sympa comme nana, c'est ma troisième fois et j'y saute dedans à pieds joints.
C'est reparti pour de grands sourires devant cette écriture directe que je connais désormais et que j'apprécie énormément, des répliques qui claquent comme des gifles et des comparaisons à l'humour noir et décalé.
On retrouve Stan, le détective plus tellement privé puisqu'il bosse désormais avec les flics.
Pas d'inquiétude, il est toujours à la ramasse mais je vais éviter de le tailler trop longtemps car il su transformer ses coups de loose en prouesses.
Toujours une bouteille de sky à la main, il est rappelé par la police pour enquêter sur d'étranges meurtres.
Il s'agit de personnes dévorées vivantes, parfois en pleine rue, de nuit et quand une dent humaine est retrouvée dans la carotide d'une victime, la situation s'éclaircie pour prendre immédiatement une autre tournure...
On imagine sans mal le malaise que cela va créer au sein des politiques.
Je me répète du coup mais c'est pour les p'tits nouveaux qui me lisent, il faut commencer par le début, soit le volume 1, vous rateriez toute la magie de la série.
Ça c'est pas concevable, d'ailleurs si c'est encore possible j'aimerais bien remplacer le mot magie par folie mais mon cœur balance quand même, les deux collent bien.
On parle d'un prêtre disparu, de son église et forcément de son remplaçant prodiguant à son tour la sainte parole.
C'est très personnel mais la religion m'ennuie à la base sauf que comme d'habitude, l'auteur y mêle sa patte et son humour parfois grinçant.
Ce fût donc un excellent moment de rigolade, pas rébarbatif du tout, n'oubliez pas que Stan est très fort à ce jeu là.
Ses réparties sont fielleuses bah oui personne n'est parfait et il n'a pas son pareil pour dérider un homme d'église, j'adhère.
Faîtes-vous plaisir et rions mes chers lecteurs nous en avons tous grand besoin et moi je vous propose du rire en papier.
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